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Les entreprises de mécanique ont besoin de main d’oeuvre qualifiée

Présidente du groupe Viollet Industries SAS (74), Céline Hugot est  présidente aussi du conseil régional de la FIM (Fédération des Industries Mécaniques) Rhône-Alpes. Elle a souligné lors d’une récente conférence de presse du MEDEF Rhône-Alpes, les difficultés du secteur à recruter une main d’œuvre qualifiée.

Des industries à la base des équipements pour l’environnement

 La mécanique est au cœur des enjeux industriels, et partant, de l’environnement.  La contribution des industries mécaniques, et d’activités proches comme  la métallurgie et la plasturgie, est nécessaire pour livrer des équipements de production d’énergie, y compris d’énergie renouvelables. Sans transformation des métaux, des plastiques, sans mécanique, pas de turbines,  d’alternateurs, pas de barrages, d’éoliennes, de chaudières pour le bois, de panneaux photovoltaïques ou thermiques, etc. Les entreprises de mécaniques construisent aussi les biens d’équipements qui permettent de fabriquer les biens de consommation finaux.

Par exemple le Villet Industrries produit des équipements qui permettent de fabriquer des élément pour le photovoltaïque avec la société acautomation   . La société Atlas Copco, fabrique des pinces et de cisailles pour le recyclage.

Réduire les consommations

Les industries  mécaniques cherchent à produire des matériels plus performants, dont l’impact environnemental est optimal : réduction de la consommation d’énergie, économie de matière, réduction des déchets recyclage des métaux.

Malgré une conjoncture plate, de nombreuses entreprises  du secteur ont des besoins. C’est par exemple le cas de l’entreprise que dirige Céline Hugot, qui emploie vingt cinq personnes, et vise une augmentation de ses effectifs de dix salariés dans les cinq ans.

Les entreprises de mécanique n’ont pas une image assez bonne pour attirer suffisamment les jeunes. Or, même s’il y a du « cambouis » dans la mécanique il  a aussi de machines à commande numérique, conduites par des professionnels pointus, bien rémunérés, qui ont des responsabilités importantes.

Les diplômés ne sont pas assez nombreux, car les filières de formation ne préparent pas assez des jeunes adaptés . La filière d’apprentissage n’est pas assez développée. Le niveau de certains diplomés (CAP, BEP) n’est pas à la hauteur des compétences annoncées. Or les entreprises ont besoins de personnes expérimentées pour produire des pièces, des sous ensembles, des équipements de qualité.

michel.deprost@enviscope.com

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