Le Parc Naturel Régional (PNR) du Vercors est composé de six sous-territoires : Royans-Isère, les “4 Montagnes” et le Trièves en Isère ; Royans-Drôme, Vercors-Drôme et Diois-Gervanne dans la Drôme. L’étude montre, statistique à l’appui, que territoire recouvert par le parc naturel régional en quelque sorte deux sous territoires.
La partie iséroise du Parc partatgent avec d’autres parcs naturels réigonaux de Rhône Alpes, une forte une forte influenceurbaine. Les parcs du Pilat, des Bauges, de Chartreuse sont largement influencés par des villes portes qui sont de des agglomérations importantes ( Saint-Etienne,Lyon,Chambéry,Annecy).
Au nord l’influence de l’agglomération grenobloise est forte. L’étalement urbaine et la rurbanisation ont gagné le Vercors isérois : c’est le cas dans le Trièves, avec l’autoroute A 51, mais aussi dans le secteur des Quatre Montagnes. Les communes du Royans, dans la plaine de l’Isère, apportent aussi au parc croissance démographique est vive, revenus les plus élevés, emplois les plus qualifiés. Le Vercors isérois qui concentre dans les Quatre Montagnes et le Royand la moitié des 42 500 habitants du Parc, concentre 80 % de l’augmentation de la population globale.
Vercors isérois plus riche
Le poids des cadres et des professions intellectuelles supérieures est élevé dans le Trièves et dans les 4 Montagnes. Les revenus annuels sont plus élevés dans le Vercors isérois avec 24 000 euros dans les “4 Montagnes” alors que les revenus atteignent 18 000 euros dans le Diois-Gervanne et le Royans-Drôme.
L’économie sociale représente 22 % de l’emploi (14 % dans les autres PNR). Ce secteur est fortement développé en raison du besoin de services pour une population isolée et âgée et d’une spécialisation dans l’hébergement médico-social.
Le tourisme est l’un des principaux facteurs de développement économique du Vercors. La zone “4 Montagnes” principal acteur du secteur touristique concentre la moitié des 71 500 lits touristiques du parc. Le poids de l’agriculture est plus fort que dans les autres PNR. C’est dans le Diois-Gervanne que les effectifs sont les plus importants avec des cultures très pourvoyeuses d’emplois viticulture et plantes aromatiques.
Le territoire du Parc du Vercors est confronté à plusieurs enjeux: le développement des emplois pour limiter chômage et déplacements, l’accession au logement dans un contexte de forte pression immobilière en raison d’une concurrence entre logement touristique et logement principal. Bien que le Parc soit très bien équipé ( commerce, équipements sociaux) le rééquilibrage nord/sud en termes d’équipements peut aussi figurer parmi les enjeux.
L’INSEE met en évidence
un développement à deux vitesses
Parc Naturel régional du Vercors :
Une étude réalisé à l’INSA par Maud Coudène met en relief le développement à deux vitesses des territoires du Parc Naturel Régional.
Le Parc Naturel Régional (PNR) du Vercors est composé de six sous-territoires : Royans-Isère, les “4 Montagnes” et le Trièves en Isère ; Royans-Drôme, Vercors-Drôme et Diois-Gervanne dans la Drôme) .
L’étude montre, statistique à l’appui, que territoire recouvert par le parc naturel régional en quelque sorte deux sous territoires.
Le territoire du Parc du Vercors présente au nortd des terrotories, qui partatgent avec d’autres parcs aturels réigonaus xde Rhône Alpes, une forte ilflucnes urbaine. Les parcs du Pilat, des Buages, de Chartreuse sont largement influences par les villes portes qui sont de des agglomérations importantes.
Au nord l’influence de l’agglomération grenobloise est forte. L’étalement rubaine ou du moins la turbanisation ont gagné le nord du territoire du parc : c’est le cas dansle trièves, avec l’autoroute A 51, mais aussi dans le secteur des quatre Montagnes. Les communes du Royans, dansla plaine de l’Isère, touche aussi les communes du parc., la croissance démographique est vive, les revenus les plus élevés et les emplois les plus qualifiés.
En 2007, la moitié des 42 500 habitants se situent dans les territoires du nord (Royans-Isère, les ‘4 Montagnes’). Le rythme de croissance de la population s’est accéléré ces dernières années. Le gain annuel est passé de + 300 habitants dans les années 80 à + 500 dans les années 2000. Les territoires isérois ont concentré 80 % de cette augmentation.
La répartition de la population selon la catégorie socioprofessionnelle est également variable d’un territoire à un autre. Le poids des cadres et des professions intellectuelles supérieures est élevé dans le Trièves et dans les 4 Montagnes. Des revenus annuels plus élevés dans le Vercors isérois que dans la partie drômoise. En moyenne alors qu’ils dépassent 24 000 euros dans les “4 Montagnes”.
, ils atteignent 18 000 euros dans le Diois-Gervanne et le Royans-Drôme.
Le poids des emplois de la sphère présentielle a très fortement augmenté depuis 1982.
Plus spécifique au Vercors, l’économie sociale représente 22 % de l’emploi (14 % dans les autres PNR). Cette forte présence résulte de la conjugaison de plusieurs facteurs favorables : le besoin de services pour une population isolée et âgée et une spécialisation dans l’hébergement médico-social.
Le tourisme est l’un des principaux facteurs de développement économique du Vercors. Avec ses stations de ski, la zone “4 Montagnes” est le principal acteur du secteur touristique, été comme hiver. Elle concentre la moitié des 71 500 lits touristiques du parc. Le poids de l’agriculture est plus fort que dans les autres PNR. C’est dans le Diois-Gervanne que les effectifs sont les plus importants avec des cultures très pourvoyeuses d’emplois (viticulture et plantes aromatiques).
Le développement des emplois pour limiter chômage et déplacements, l’accession au logement dans un contexte de forte pression immobilière, ainsi qu’un rééquilibrage nord/sud en termes d’équipements en sont quelques exemples.
