La situation a été tendue dans les Alpes Maritimes, où le loup est installée depuis 1992 dans le Massif du mercantour. Le Département vit dans une certaine tension permanente entre éleveurs, élus, et une partie de la population d’une part, et d’autre part l’Etat et le Parc du Mercantour.
Cette tension s’ext exprimée au grand jour lors que le 8 août un éleveur de Saint Martin d’Entrunes, a fait appel à des agents du Parc National pour constater les dégats d’une récente attaque contre son troupeau. L’enchainement précis des faits sera évoqué lors de l’instruction, puis lors du procès qui devrait suivre la plainte. En effet, deux des agents du Parcs ont été agressés, l’un deux ayant été frappé avec un bâton,ce qui a entrainé une interruption de travail.
L’éleveur auteur des faits, avait vu ses troupeaux attaqués à quatorze reprises. ” Cet après-midi même, mon troupeau a été attaqué, en plein jour” explique Sophie , éleveuse. Ce loup semble plus aggressif que les autres. ” Aujourd’hui, il a attaqué et tué des brebis sans en manger une”.
Les moyens de défense mis en place par les bergers ne suffisent pas à se protéger du prédateur. Des cabanes d’altitude ont été construite, des filets de protection mis en place. Rien n’y fait. ” La présence du loup impose un surcroit de travail. Elle crée aussi un surcroit de stress, on ne sait jamais quand on peut se reposer ” explique.
Les difficultés imputables au loup s’ajoutent à des contraintes imposées parle Parc National, sur l’élevage. ” Le parc étend les secteurs de paturage mis en défens, c’est à dire où il est impossible de mener paitre les troupeaux” explique S. Cerrains berges se voient reprocher de polluer des sources.
Ces relations tendues avec le parc, d’autres catégories de la population en souffriraient: un curé a été verblisé pour avoir célébré une cérémonie sur un site où les fiduèles ont endmmagé des espaces protégées.
Deux cultures s’affrontent. La culture admnistrative et réglementaire du parc, et la cultur des habiotants des vallées attachés à leur mode de vie. ” Ici, les gens font , et attendent ce qui va se passer” commente un fonctionnaire du parc.
L’élevage ovin ne se porte pourtant pas mal. S et son compagnon ont chacun un millier de bêtes. Les trpueaux doivent etre plus important pour être rentable, mais cela imposer un surcroit de travail. La rentabilité, est permis par les aides européennes, la Pac ayant été positif, alro que le marché de la viande de mouton ne se porte pas mal, tiré notamment par les consommateur smulsulman.