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Generali au Club Eco Attitude: le développement durable étend la culture du risque

Le risque, c’est le métier des assureurs. C’est le métier de Generali depuis sa fondation à Trieste en 1831, comme l’ont rappelé lors du troisième petit-déjeuner du Club Eco-Attitude, au Café Marguerite à Lyon, Louis Rémy Pinault, responsable régional Ouest du département Marché des Entreprises et Philippe Protais, chargé du marché des Entreprises pour la direction Sud Est de Lyon.


Une quinzaine de participants (responsables communication ou développement durable d’entreprises de la région) a assisté à cette troisième rencontre organisée par ATC Groupe, spécialiste de la communication outdoor, indoor, et par Enviscope.com. La rencontre a été animée par Michel Deprost,rédacteur en chef d’Enviscope.com



Les représentants de Generali ont expliqué comment l’assureur, au fil des années, a élargi sa vision du risque en intégrant des dimensions jusqu’à présent cloisonnées. « Nous nous sommes lancés dans le développement de ces idées avec passion, mais il n’est pas facile de convaincre et d’obtenir des résultats, cela va demander dix ans» explique Louis-Rémy Pinault.


Il faut par exemple convaincre une entreprise que la sécurité tient aussi à la manière dont elle intègre des stagiaires, dont elle accueille le personnel, dont elle le forme. L’accident n’arrive pas fortuitement : pour exemple, la panne qui, faute de maintenance prédictive, va interrompre la production, ou encore comme la non qualité qui va faire éliminer un sous-traitant par un donneur d’ordre exigeant.




Le respect des règles et l’anticipation des nouvelles normes, en particulier en matière d’environnement, est une manière d’éliminer des risques. Les économies de papier, de matières premières, d’énergie, etc. sont une manière de réduire le risque environnemental et la fragilité économique.




« Nous avons environ 4 000 petites et moyennes entreprises clientes, explique Philippe Protais. Nous appliquons notre démarche de diagnostic à 27 d’entre elles». Les dirigeants doivent jouer le jeu, s’engager. « Nous refusons de nous engager nous-mêmes dans une entreprise qui ne joue pas la transparence, qui ne nous donne pas les informations nécessaires au nom de la concurrence ou pour une autre raison » souligne Louis-Rémy Pinault.


Generali applique d’ailleurs dans son propre fonctionnement, la rigueur demandée aux assurés. Le groupe chasse les gaspillages en tout genre, investit au maximum dans des immeubles de qualité environnementale et sélectionne ses investissements boursiers en fonction de critères environnementaux et éthiques.




Cette « culture du risque » développée en entreprise à l’aide de l’outil de diagnostic permet de travailler en transverse avec les équipes du client et d’aborder le programme d’assurance comme le financement des risques mis en évidence dans l’audit. À partir de la hiérarchisation de ces risques, le programme y répondra en déclinant les solutions d’assurances adéquates tout en négociant avec le client les axes de progrès permettant de faire progresser la performance éco-durable de l’entreprise.Objectif : convaincre les commerciaux et courtiers que cette approche plus globale de la gestion du risque est un avantage commercial.




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