Les bonnes et les mauvaises nouvelles s’abattent sur le secteur solaire au niveau mondial, rappelle Jean Therme, Directeur de la recherche technologique et Directeur des Energies renouvelables au CEA ( Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives) .
Les mauvaises nouvelles ce sont les difficultés de l’industrie solaire allemande, dont les fleurons ont été déstabilisés, ont disparu, se sont retirés du marché. C’est la surcapacité mondiale, ce sont les difficultés du secteur en France.
Mais face à ces évènements propres à une phase de structuration mondiale du marché, des nouvelles positives apparaissent. L’Europe reste le premier marché mondial et elle dispose d’une capacité technologique qui la place nettement dans la compétition mondiale.
Le développement du solaire, en particulier du photovoltaïque demande des capitaux importants.