TELT a attribué un marché, d’une valeur d’environ 3 millions d’euros et d’une durée de 24 mois, pour l’entretien et la maintenance du chantier de la Maddalena. Six entreprises locales, 3 du Val de Suse et 2 turinoises ont décroché ce marché et remplaceront à partir du 1er juin, les entreprises qui jusqu’ici travaillaient pour le phase de reconnaissance.
Il s’agit d’une Association temporaire d’entreprises (ATI) composée de Effedue Srl (mandataire du groupe), BBE Srl de Suse, Piemonote Disgaggi Opere Speciali Srl d’Avigliana, EMMEVI Srl de Turin, EMMEVI SRL di Ravenna e Ghiggia Ingegneria d’Impianti Srl de Scarmagno (Turin) et Geotecna Srl de Milan pour la phase de conception. Les missions du groupement consistent en la réalisation de travaux et d’ouvrages pour la maintenance, la conception et la mise en place des clôtures du nouveau chantier pour le tunnel de base du Mont-Cenis et le soutien logistique aux forces de l’ordre. Les nouvelles entreprises devront aussi gérer la maintenance des installations et équipements de chantier internes et externes à la galerie de reconnaissance (éclairage, vidéosurveillance, ventilation, assainissement des eaux, etc..).
Par ailleurs, la procédure d’attribution des travaux pour la réalisation des niches de retournement dans la galerie de reconnaissance de Chiomonte continue. Le maitre d’œuvre et TELT préparent actuellement la documentation des appels d’offres à envoyer aux entreprises qui auront ensuite trois mois pour envoyer leurs propositions techniques et financières. Les travaux prévoient la réalisation de 23 niches de retournement à l’intérieur des 7020 mètres de la galerie de reconnaissance de Chiomonte, achevé en février 2017, qui serviront pour la circulation des engins qui creuseront la galerie principale du Lyon-Turin.
Décret « socle commun » : les collectivités toujours dans l’expectative concernant le sort des boues d’assainissement
La conférence sur la gestion des effluents non domestiques organisée par le Graie et la FNCCR en octobre a permis aux collectivités de faire remonter leurs inquiétudes quant au projet de décret "socle commun", qui pourrait menacer la valorisation agronomique...