Jusqu’à l’arrivée des OGM, l’amélioration des plantes par les techniques modernes de culture et de sélection n’a jamais été contestée autrement qu’à la marge. Avec les OGM, puis plus récemment les plantes mutées, la contestation est entrée dans le débat public au delà des professionnels de l’agriculture. Les performances annoncées ne compensent plus la perte de confiance dans l’agriculture « productiviste » moderne. De nombreux citoyens revendiquent le droit d’interroger la recherche et s’interrogent sur les avantages et inconvénients de ces méthodes pour les paysans et la Société aux plans agronomique, socio-économique, nutritionnel, sanitaire, de la souveraineté alimentaire, de l’érosion de la biodiversité…
Arkema s’engage pour contenir le réchauffement climatique en dessous de 2 °C
Le groupe chimique Arkema s’est fixé un nouvel objectif stratégique de réduction de son empreinte environnementale, avec notamment celui de réduire ses émissions absolues de gaz à effet de serre de 38 % en 2030 par rapport à 2015. Arkema...