Depuis 2006, le salarié récalcitrant avait fait l’objet de plusieurs rappels à l’application des consignes et des entretiens avaient eu lieu entre avec sa direction et lui. Effectivement sa fiche de poste prévoit bien cette mission de coupure.
Au total ce seraient un milliers de foyers qui seraient concernés, a précisé un délégué de la CGT.
Pour son employeur, son refus de couper l’approvisionnement en eau nuisait à la bonne marche du travail, obligeant d’autres agents à procéder aux coupures non effectuées.
Le salarié licencié a décidé d’engager une procédure devant le conseil des prud’hommes.