Abeilles : Bayer veut réduire les effets négatifs des néonicotinoïdes
Une étude commune de l’Université de Exeter Rothamsed Research et de Bayer a découvert chez l’abeille mellifère des enzymes qui expliquent pour quelles raisons ces insectes peuvent être sensibles à plusieurs insecticides néonicotinoïdes.
L’article du journal Current Biology [http://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(18)30230-6 ] a pour titre ” les déterminants moléculaires de la sensibilité” des abeilles aux insecticides néo-nicotinoides”. Comme chez d’autres organismes les toxines peuvent être décomposées chez l’abeille par des enzymes cytochrome P450s.