Pour les cancers tous âges une seule différence significative est remarqués : unesous mortalité de la zone d’étude pour les hommes de la zone A par rapport au reste de la France. L’étude note une sur incidence du cancer du pancréas chez la femme, « qui ne peut être expliqué ecompte tenue des connaissances scientifiques actuelles ». La réalisation d’une étude de niveau national voir international apparait opportune. Il n’est pas nécessaire de poursuivre une étude sur le territoire.
L’étude lancée en juin 2009 a été financée à 50% par le Conseil général de la Drôme et à 50% par l’Autorité de Sureté Nucléaire. L’étude a été réalisée par l’Observatoire régional de santé de Rhône-Alpes et encadrée par un comité de pilotage réuni à cinq reprises. L’objectif était de dresser la situation sanitaire sur le territoire défini par le Plan Particulier d’Intervention du Tricastin en le comparant à un territoire de référence. La comparaison devait porter sur un maximum d’indicateurs épidémiologiques reflétant l’incidence et la mortalité, sur une période aussi longue que possible. L’étude devait aussi discuter les biais éventuels et les limites des indicateurs.
L’étude a des limites précises. Elle ne permet pas de situer ” l’impact sanitaire des installations nucléaire, ou d’affirmer et d’informer toute association entre la situation sanitaire et la présence des équipements“.
Le secteur comprend 89 000 habitants, 51 000 dans la zone A la plus proche des installations et 37 000 dans la zone B. Le territoire de référence est constitué par la réunion des quatre départements d’Ardèche, de la Drôme, du Gard, et du Vaucluse.