L’industrie chimique poursuit ses engagements pour réduire son impact sur le climat.
L’industrie chimique est engagée depuis plusieurs années dans des actions en faveur de la réduction de l’empreinte environnementale de son activité, notamment en faveur de son empreinte carbone. Ces actions incluent le recours à des matériaux bio sources qui permette de ne pas utiliser des matériaux d’origine fossiles. Mais le chemin est long est la chimie est encore largement utilisatrice de ressources fossiles, le pétrole et le gaz, comme sources d’énergie et comme sources de molécules. Les régions de fort implantation chimique sont aussi les régions où ces matières premières arrivent dans les ports français: l’industrie de la vallée du Rhône produit une partie de ses commodités partir de pétrole et de gaz arrivant sur la zone Fos Marsile Fos La chimie est fortement implantée près des zones portuaires de Normandie.
La chimie a besoin de ces approvisionnements, mais cherche activement des voies novelles, avec de produits plus performantes, eux-mêmes bénéfiques pour l’environnement. ” La chimie français e n’a pas connue le recule d’autre branches industrielles car elle a beaucoup innové vers une chimie de spécialité explique Frédéric Fructus, président de l’Union de Industries Chimiques d’Auvergne Rhône-Alpes. Cette chimie de spécialités permet notamment de créer des produits recyclables, des martiaux plus léger qui eux mêmes permette la réduction de consommation énergétique dans le secteur des transports (routier, aérien).
La chimie réduire la consommation d’énergie de ses processus. Elle s’engage dans des démarches d’écologie industrielle et même territoriales. Les entreprises des secteurs joue de complémentarités entre elles, pour mutualiser et optimiser ressources et utilise de sous produits. Les entrepris de la chimie s’inscrivent dans des démarches d’écologie territoriale. Les usines ont des besoins de chaleur leurs processus produisent de la chaleur fatale.
Dans les agglomérations proches, des réseaux de chaleur produisent chaleur et électricité par exemple à partir de l’incinération de déchets. Mais les besoins de chaleurs se réduisent quand les besoin de chauffage diminuent. On peut donc imaginer alimenter des industries chimiques en chaleur de réseaux urbains utilisant des incinérateurs à la belle saison. Come on peut imaginer alimenter les réseaux de chaleur urbains par la chaleur fatale d’usines chimiques. Un accord a été passé dans la vallée de la Chimie de Grenoble, entre Solvay Energie et la Compagne de Chauffage. Un projet est à l’étude entre la Vallée de la Chimie au sud de Lyon et le réseau de chaleur de la Métropole de Lyon.
