Les entreprises de transport par cars, s’engagent aussi en faveur de la transition numérique et de la transition énergétique. Elles veulent que les autorités organisartrice de transports, leur permettent de développer leurs offres.
Le car n’est pas l’ennemi du train. Personne lors de l’assemblée général de la Fédération National des Transport de Voyageur d’Auvergne Rhône-Alpes ne songe à prendre positon sur le rôle du train, encore moine sur la réforme ferroviaires en cours. ” Le car ne dot pas être opposé” au train, explique, o président de la fédération régionale qui regroupe entreprises, employant personnes.
Dans les transitions engagées, il y a de la place pour tout le monde, le seule moyens de transport qui doit reculer est la bien voiture individuelles encore dominant. Il y a de la place, pour les modes doux, pour le train, pour le covoiturage. ” Mais le car est bien le meilleur moyen de se covoitures”… IL faut donc faire de la place au car, outil modern de liaison interurbaine, de transports scolaire, de transports pour le tourisme.
Le car a des atouts dans trois révolutions. Dans la révolution de la mobilité, orchestré par la Loi LOM (Loi d’Orientation sur la Mobilité), qui va être votés bientôt. Le car a sa place lorsque des lignes ferroviaires doivent être irrémédiablement fermées, en raison d’un trafic inexorablement en baisse. Le car doit avoir sa place sur les autoroutes et autres voies périurbaines, lorsque des files spéciales sont créées pour réduire le trafic et donner la priorité au covoiturage.
Le car a sa place dans la révolution numérique. Il a sa place dans les systèmes d’intermodalités, pour mieux informer les usagers, pour mieux coordonner l’offre.les plates formes de mobilité permettent de concenter l’offre et l’information pour permettre aux usagers de mieux se déplacer. Les plates formes concentrent des quantités énormes de donnée, sur les pratiques de mobilité. Pour les entreprises de transport de voyageurs, l’enjeu est de garantir la disponibilité de cette donnée en direction des acteurs.
Enfin, les entreprises de transports de voyageurs, veulent avoir leur mot à dire dans la transition énergétique. Elles veulent être en mesure de mettre en avant leurs capacités d’innovation d’investissements, sans que les collectivités, par exemple, imposent leurs choix sans cohérence suffisante
