L’Isère, est un cours d’eau particulièrement exploitée pour la production hydroélectrique du fait de sa localisation en zone de montagne et de ses débits soutenus tout au long de son linéaire, par l’apport de nombreux affluents au débit lui-même soutenu. La question de la continuité physique représente là encore l’un des enjeux majeurs, tant sur le plan du transport des sédiments qui s’accumulent derrière les barrages, comme sur le plan des migrations piscicoles.
Les actions porteront sur les deux secteurs les plus équipés. Des actions seront situées sur la partie amont, de la source de l’Isère jusqu’à la confluence avec l’Arc. Pour la partie aval, les actions porteront sur la portion entre le confluent avec le Drac, à Grenoble, jusqu’au Rhône. La partie médiane dans la plaine du Grésivaudan n’est pas équipée sur l’axe Isère lui-même. Les équipements de ce secteur moyen ne sont situés que sur les petits affluents en rive gauche qui descendent de Belledonne, comme le BREDA.
Des cadres robotisés pour suivre le comportement des abeilles d’une ruche
Des cadres de ruche robotisés imaginés par des scientifiques de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne permettent de suivre les réserves de miel dans les ruches sans recourir à des caméras. Cette technique permet de développer des outils correspondant à la...