Les traces de contamination ont été détectées chez un intervenant qui travaillait sur le chantier de remplacement des générateurs de vapeur dans le bâtiment réacteur de l’unité de production n°2 à l’arrêt pour visite décennale. La personne été examinée par le service médical du site qui a estimé le niveau d’exposition intern légèrement supérieur au 40ème de la limite annuelle réglementaire, fixée à 20 mSv (millisievert) pour tous les intervenants en zone nucléaire. Le sievert (Sv) estime l’effet du rayonnement sur l’homme. Les expositions s’expriment généralement en mSv. L’exposition moyenne annuelle naturelle d’un individu est de 2,4 mSv. Le salarié sera suivi quotidiennement par le service médical jusqu’à élimination naturelle de la contamination. Une analyse est en cours pour déterminer l’origine exacte de cette contamination. L’Autorité de Sûreté Nucléaire et les pouvoirs publics ont été informés.
Urbanisme, transport de personnes, bâtiments : la stratégie bas carbone manque de précision
Faute de mesures très précises et ambitieuses, The Shift Project pointe le manque de garanties apportées par la stratégie nationale bas carbone de l’État français en cas d’échec d’une partie de ses composantes. Le think-tank européen attire l’attention sur la...