Markal a signé la charte Bio in Rhône-Alpes développée par Organics Cluster, un réseau d’acteurs opérant dans le secteur des produits biologiques certifiés. Cette charte a pour but de valoriser les engagements des entreprises en matière de développement durable. Olivier Markarian estime que cette charte constitue « une reconnaissance des engagements de l’entreprise au quotidien dans sa région ».
L’entreprise fait son maximum pour prendre en compte l’environnement. Olivier Markarian explique : « nous recyclons 100% de nos écarts de triage vers l’alimentation animale. Nous possédons notre propre station d’épuration des eaux usées ». La part du bio sur l’ensemble de l’activité de Markal est de 90%. Le chiffre d’affaires réalisé sur le bio s’élève quant à lui à 31 millions d’euros, pour un chiffre total de 35 millions. En outre, ces dernières années, la vente des produits bio de l’entreprise a progressé de 20% par an. Markal compte par ailleurs 52 salariés. Selon Olivier Markarian, l’entreprise ne possède pas de profil particulier d’acheteurs, car « tous les consommateurs sont potentiellement intéressés ».
Des matières premières essentiellement Drômoises.
Une grande partie des matières premières de Markal provient de la Drôme. C’est le cas pour le blé dur qui est issu à 75% de la Drôme et à 25% de l’Italie. Le blé tendre, l’orge et l’épeautre proviennent à 100% de la France, dont la moitié est issue de la Drôme. En revanche, le riz basmati provient d’Inde, le Quinoa de Bolivie, et le sucre de canne est importé du Brésil. De plus, Markal commercialise plusieurs produits originaux et atypiques. Olivier Markarian explique : « Le boulgour, originaire de Moyen Orient, a été fabriqué la première fois en Europe par mon grand-père ». En outre, « le Quinoa de Bolivie qui était inconnu il y a dix ans est devenu un best-seller en épicerie bio ».
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.markal.fr.