A Marrakech lors de la COP 22, le cluster Eco-Énergies a participé à la délégation Auvergne-Rhône-Alpes en présence du Vice-Président Eric-Fournier, délégué à l’Environnement, au Développement Durable et à l’Énergie.
Les actions à l’international lancées par le Cluster Eco-Énergies commencent à déboucher sur des contrats. C’est au Maroc que les perspectives les plus concrètes se dessinent pour des pme régionales du secteur de l’énergie et du bâtiment (1). Les premiers contacts ont été pris il y a quelques années, aboutissant à la mise au point d’une offre globale qui permet à des entreprises d’adapter leur offre collective à un marché particulier. Sur la zone verte de la COP 22 cette approche collaborative a permis la signature de 2 contrats au Maroc.
La COP 22 a permis au cluster de renforcer sa légitimité en tant qu’expert et référent de la filière de l’éco-bâtiment en Région et de développer sa notoriété au niveau national et international. Des contacts ouvrent de nouvelles perspectives de développement sur le marché marocain.
Le Cluster entend également accompagner des adhérents en Afrique subsaharienne, par exemple au Cameroun. Une diaspora africaine importante vit et travaille dans la région. Ces Africains ont évidemment conservé des attaches avec leurs pays. Lors du salon Urbafric qui s’est déroulé à Lyon, des représentants du Cluster ont rencontré des Camerounais désireux de favoriser des projets de construction. Comme dans d’autres domaines, le but est de transférer d’emblée des techniques performantes sur le plan de l’environnement et sur le plan de l’énergie : utilisation de matériaux locaux, économies d’énergie, efficacité. Le Cameroun, avec les métropoles de Yaoundé et de Douala, avec des projets économiques d’ampleur, offrirait de belles perspectives.
1) – IMOKA, Assistance à Maîtrise d’Ouvrage avec Pascal Janzam – SEQUOIA, Bureau d’étude environnemental avec Bruno Dehan – SLTB, Bureau d’études fluides avec Hafid El Maghnouji.