Relaxe de faucheurs d’OGM : Monsanto fera appel


La filiale française du groupe semencier , dont le siège est à Bron, estime dans un communiqué diffusé vendredi, que la relaxe prononcée « est incompréhensible dans la mesure où les faits constituent une violation de propriété privée et la destruction de biens d’autrui – actes qui sont punis par la loi française». Monsanto estime aussi que la décision apparaît d’autant plus « inacceptable que le Parlement français vient d’adopter une loi sur les biotechnologies végétales qui institue un délit de fauchage spécifique condamnant fermement la destruction des parcelles d’expérimentation OGM» . Les essais détruits à Poinville le 18 août 2007 à Poinville (Eure-et-Loir) étaient parfaitement autorisés. « Que des individus se soient arrogés, sans aucun fondement scientifique ou légal, le droit de saccager ces champs est par conséquent inadmissible dans un Etat de droit tel que la France»



Monsanto déclare qu’ il « est honteux de voir les agriculteurs français continuer d’être privés d’un accès serein à ces outils…On ne peut pas d’un côté refuser en permanence les outils de production agricole et cautionner les actes obscurantistes, et de l’autre protester contre la hausse des prix des aliments et contre la perte progressive de compétitivité des agriculteurs et des éleveurs français».



Pour en savoir plus sur Monsanto www.monsanto.com et www.monsanto.fr

LinkedIn
Twitter
Email

à voir

Related Posts

Mag2lyon numéro 163

NEWSLETTER

Rececevez réguliérement par mail nos dernier articles publiés

Lire la vidéo
Lire la vidéo
Lire la vidéo

Derniers articles publiés

Enquêtes

Reportage Vin 31

Dossiers

Territoires

Environnement

Energie

Mobilité

Médiathèque

économie

économie durable

bioéconomie

économie circulaire

Construction et aménagement

Recherche

Welcome Back!

Login to your account below

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.