Parmi les régions les plus tempérées, la région Centre Est compte un nombre important d’habitants motivés à passer à l’énergie solaire et à installer des panneaux photovoltaïques chez eux. Ils sont à égalité avec la moyenne nationale des Français.
Leurs principales motivations pour installer des panneaux solaires sur leur toit seraient : de faire des économies et de réduire leur facture (77% d’entre eux), d’être plus autonomes (40%) et enfin de respecter l’environnement (38%). Réduire sa facture reste, d’ailleurs le critère numéro un des Français toutes régions confondues (73% des Français interrogés). Ce chiffre atteint même, 81% chez les habitants des régions Champagne-Ardenne, Picardie et Bourgogne.
Bien qu’ils soient motivés pour passer au solaire, les habitants de la région Centre Est dressent le TOP 3 de leurs freins à l’installation de panneaux solaires : • Le coût, pour 76% d’entre eux (versus près de 80% de l‘ensemble des Français sondés). • La méconnaissance du retour sur investissement : 36% d’entre eux s’interrogent sur les économies réalisables et en combien de temps elles peuvent être obtenues (versus 41% de l’ensemble des Français). Sans surprise, leurs interrogations sont moins marquées que celles des habitants des régions Haute-Basse Normandie et Centre (50% d’entre eux). • Les travaux d’installation : 30%’ d’entre eux estiment qu’ils peuvent encore paraître trop longs et contraignants
Enfin, les mentalités évoluent et le désir d’indépendance énergétique devient plus fort : en effet, ils sont 80% (versus 83% pour l’ensemble des Français) à préférer consommer l’électricité produite par leurs panneaux solaires plutôt que de la vendre intégralement sur le réseau d’électricité. Ils sont même 70% (versus 69% pour l’ensemble des Français) à être prêts à aller plus loin, en installant une batterie pour stocker l’énergie non consommée en journée et l’utiliser quand ils le souhaitent.
Les acteurs économiques de la Métropole de Lyon au centre d’une réunion sur la ZFE
Ce lundi, les acteurs économiques de la Métropole de Lyon sont conviés à échanger sur la zone à faibles émissions.