Après avoir assisté à toutes les réunions du CODDE, les représentants de CIPRA considèrent que la participation à ” un conseil d’orientation(s) qui ne peut pas en faire est un marché de dupes ! “
CIPRA explique avoir demandé que le comité d’organisation s’engage à soutenir plusieurs compensations environnementales : classement du Mont-Blanc au patrimoine mondial de l’UNESCO. La CIPRA demandait aussi le classement de la vallée des Confins dans les Aravis, inscrit dans deux autorisations UTN du Grand Bornand et de La Clusaz mais jamais mis en œuvre depuis 15 ans.
La CIPRA demandait aussi la préservation de la plaine du Mont-Blanc en territoire agricole, et le classement du Semnoz, chaine du massif des Bauges qui domine le lac d’Annecy sur sa rive sud.
« Ces compensations environnementales ne coûtaient pas un euro, il aurait seulement été nécessaire que le Comité use de son influence pour que les élus concernés fassent avancer ces dossiers » explique le communiqué de la CIPRA.
Le départ de la CIPRA est justifié sur un autre point. Alors que le dossier de requérance insistait sur l’utilisation d’installations existantes, ce point n’a pas été retenu dans le dossier final. C’est le cas pour sept nouvelles installations de glace qui devraient être créées spécialement pour les JO.
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