La piste accidentelle concernant un décolleteur retrouvé mort dans son usine
après avoir respiré des émanations de trichloréthylène a été confirmée.
Le 16 octobre 2008, l’unité territoriale Haute-Savoie de la DIRECCTE (inspection
du travail) avait organisé, avec les syndicats de salariés dont la CFDT et les
syndicats d’employeurs, un colloque intitulé « Enjeux et perspectives » portant sur
l’utilisation de ce produit toxique.
Cette manifestation avait rassemblé une centaines de personnes dont plusieurs
chefs d’entreprises du décolletage et salariés membres de CHS-CT (comité
hygiène et sécurité et conditions de travail).
Force est de constater que les réalités du quotidien dans ce secteur professionnel
sont loin des orientations qui mériteraient d’être prises.
Le remplacement du trichloréthylène, très toxique, par des produits substitutifs, ne
semble par être une décision unanime.
La preuve malheureuse par cet accident mortel survenu à un patron.
A quand une véritable politique d’élimination de ce produit très dangereux dans la
totalité des entreprises
Des capteurs de mesure de la qualité de l’air en prêt gratuit sur trois métropoles d’Auvergne-Rhône-Alpes
À l’occasion de la Journée Nationale de la Qualité de l’Air, Atmo Auvergne-Rhône-Alpes a lancé son service de prêt gratuit de micro-capteurs de mesure de la qualité de l’air : la Captothèque. Un premier pas vers le déploiement d’observatoires citoyens...