Mise en service en 1963 sur l’Isère à l’aval de Grenoble, après trois ans de travaux, la centrale de Beauvoir (Isère ) produit chaque année l’équivalent de la consommation de 90 000 habitants
Aux côtés de Saint-Egrève, Saint-Hilaire, Pizançon, La Vanelle et Beaumont-Monteux, la centrale de Beauvoir fait partie des six centrales EDF implantées sur le cours de l’Isère, à l’aval de Grenoble.
L’installation de ces barrages hydroélectriques a profondément transformé le paysage. L’aménagement de Beauvoir est dit « barrage-usine » car l’usine, ou centrale, est directement intégrée au barrage. La production se fait au fil de l’eau, c’est-à-dire que les eaux de l’Isère sont turbinées au fur et à mesure de leur arrivée, sans possibilité de stockage.
Avec une retenue de 11 millions de m3 et une hauteur de chute de 11 m, le barrage comprend 3 passes composées chacune d’une vanne de fond (18 m x 12,55m) et d’un clapet de surface (15m x 2,5m).
Les trois groupes verticaux de type Kaplan, d’une puissance de 12 MW chacun entrainent des alternateurs qui produisent annuellement 218 GWh. Cela correspond à la consommation de 90 000 habitants et permet d’éviter l’émission de 20 000 tonnes de CO2.
Soucieux de préserver les avantages de tous les acteurs de l’eau, dans un environnement à vocation industrielle mais aussi naturelle, EDF avec le barrage de Beauvoir a trouvé un équilibre où la faune et la flore ont toute leur place.
La construction de ce barrage a provoqué la création de micro-milieux naturels comme sur les berges où des vasières et des roselières, lieux de prédilection des oiseaux d’eau se sont installées.
Sur la rive gauche de l’Isère, un sentier piétonnier ainsi qu’un observatoire ornithologique font la joie des promeneurs et photographes.
Mise en service en 1963 après trois ans de travaux, la centrale de Beauvoir (38) produit aujourd’hui l’équivalent de la consommation de 90 000 habitants. Située à l’aval de Grenoble, elle turbine les eaux de l’Isère depuis 50 ans déjà.
Aux côtés de Saint-Egrève, Saint-Hilaire, Pizançon, La Vanelle et Beaumont-Monteux, la centrale de Beauvoir fait partie des six centrales EDF implantées sur le cours de l’Isère, à l’aval de Grenoble.
L’installation de ces barrages hydroélectriques a profondément transformé le paysage.
L’aménagement de Beauvoir est dit « barrage-usine » car l’usine, ou centrale, est directement intégrée au barrage. La production se fait au fil de l’eau, c’est-à-dire que les eaux de l’Isère sont turbinées au fur et à mesure de leur arrivée, sans possibilité de stockage.
Avec une retenue de 11 millions de m3 et une hauteur de chute de 11 m, le barrage comprend 3 passes composées chacune d’une vanne de fond (18 m x 12,55m) et d’un clapet de surface (15m x 2,5m).
Les trois groupes verticaux de type Kaplan, d’une puissance de 12 MW chacun entrainent des alternateurs qui produisent annuellement 218 GWh. Cela correspond à la consommation de 90 000 habitants et permet d’éviter l’émission de 20 000 tonnes de CO2.
Soucieux de préserver les avantages de tous les acteurs de l’eau, dans un environnement à vocation industrielle mais aussi naturelle, EDF avec le barrage de Beauvoir a trouvé un équilibre où la faune et la flore ont toute leur place.
La construction de ce barrage a provoqué la création de micro-milieux naturels comme sur les berges où des vasières et des roselières, lieux de prédilection des oiseaux d’eau se sont installées.
Sur la rive gauche de l’Isère, un sentier piétonnier ainsi qu’un observatoire ornithologique font la joie des promeneurs et photographes.