Alors que les populations de loups progressent fortement dans la Région comme en France, la Fédération régionale des Syndicats rappelle son opposition totale au canidé.
” Pour nous l’objectif est zéro attaque on veut des éleveurs qui soient libre et ne subissent pales attaques de loups. Le plan loup ne va pas réduire les attaques et il y aura de plus en plus d’attaques. La fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles a confirmé lors de son assemblée générale ce lundi après midi, à la Tour de Salvagny, son opposition totale au loup.
Les populations de ce dernier se développent rapidement. La population de loups en France atteindra en 2019, à la sortie de l’hiver 2018-2019, 500 individus, le niveau jugés par les scientifiques suffisants pour permette le a présence durable de l’espèce sur le territoire nationale où elle a été violemment éradiquées.
Lorsque la population de loups aura atteint 500 individus, se posera la question de la manière dont ces populations doseront réparties. Faut il que les populations de loups soient concentrées dans les régions où l’espèce est déjà présence, essentiellement ans l’arc Alpin? Faut-il répartie cette espèce qui a vocation naturelle à se disperse sur tout le territoire, dans tous les massifs? C’est pour le Gouvernement se heurtera au refus des zones futures de peuplement. Mais laisse se développer le loup par densification du peuplement dans les secteurs où il est déjà présents, c’est poser un énorme problème. C’est dossier extremement difficile, l’équilibre n’est pas trouvé. ” a reconnu ce lundi, le directeur régionale de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Forêt los de l’assemblée de la FRSEA.
Concentrer le loup dans certaines régions c’est exposer les éleveurs des départements alpins seuls à la présence d’une prédateur qui sera de plus en plus présent. ” Les solutions techniques ne suffiront pas.” reconnait le directeur de la DRAAF AURA.’ “ON refuse une gestion différencier des territoires et le loup ne dot pas être concentrée dan certains territoires. Il faut des éleveurs de moutons dans nos montagnes et dans nos campagnes.”