Les collèges 3 et 4 ( associations, monde universitaire, environnement, etc) représente des organismes variés. Les collèges pointent trois domaines liés de très près au Plan Climat, en cohérence avec l’objectif facteur IV nécessaire pour 2050 :, les ressources , l’habitat, et les indicateurs. Les deux collèges insistent sur “ l’intégration d’indicateurs dans les processus d’évaluation pour une utilisation de l’argent public dépensé avec le maximum d’efficience.”
Circuits courts en agriculture
L’agriculture, avec la nécessité de prendre en compte les paramètres représentatifs et efficaces, afin de privilégier les circuits courts, qui impactent les réductions d’émissions de CO2, et renforcent la crédibilité de cette activité indispensable.
a forêt doit être mieux prise en compte car sa richesse régionale est notable. L’étude actuelle du CESER sur les SDAGES permet de valoriser le rôle de cette filière.
La nécessité vitale de renforcer le concept du transport en commun, tout en développant des Plans de Déplacements Ruraux et Industriels sur des zones géographiques non denses.
Logements à rénover: des objectifs difficiles à atteindre
Dans le cadre du débat, en cours, sur la Transition Energétique, les deux collèges portent une attention toute particulière sur l’habitat. ” Si le dossier des lycées est en phase d’ordonnancement avec son objectif de – 30,5% d’énergie à horizon 2020 par rapport à 2010, (avec les cibles actuelles de 50 kWh/m² et 35 kWh/m² en 2020) il en va différemment pour le parc de logements à rénover. ” estiment les collèges.
” Et nous pourrions être contraints d’intégrer les nouveaux chiffres avec le doublement en Rhône-Alpes : de 500 000, l’estimation passerait à 1 000 000. Ceci risque de poser d’épineux problèmes pour atteindre les objectifs de réduction des gaz à effet de serre !”
l’absence d’indicateurs, nécessaires au bon suivi des évaluations financières. Et ceci est primordial dans la période difficile que nous vivons, tant au niveau européen qu’hexagonal. Nous devons développer une action comparative en temps réel avec les autres états de l’Union en intégrant les notions d’harmonisation, de réduction des coûts, et de gestion rigoureuse des énergies « décarbonées ».