En dehors de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de la France plusieurs pays se positionnent en sortant de positions attentiste
Les Etats-Unis ont plutôt développé ces dernières décennies une politique de recherche et développement en matière de réacteurs à neutrons rapides, axée sur l’optimisation des déchets. Leur objectif, réduire le volume des déchets par irradiations dans des réacteurs dédiés, afin de permettre de transmuter des radioéléments issus de la fission nucléaire. Les congrès américain a voté un budget en mars 2018 pour lancer des études de conception d’un réacteur expérimental refroidi au sodium pour soutenir leur programme de R&D et les sociétés américaines proposant des concepts (Terrapower, GE…).
Les Coréens du Sud travaillent sur un projet de réacteur à neutrons rapide refroidi au sodium, projet PGSFR, en lien étroit avec les Etats-Unis ; ils conservent aussi plutôt une optique de minimisation du volume des déchets nucléaires.