La première attaque du loup sur le troupeau de Vincent Guillaume, éleveur au Cellier du Luc en Ardèche, a eu lieu le 23 juin. Sur les cinq-cents brebis, 13 animaux ont été blessés, deux ont été tués. ” D’autres animaux ont disparu. On ne peut pas compter les animax tous les jours, nous ferons le compte àla fni de la saison” explique l’éleveur dont les bêtes paissent dans les bois, loin de la ferme. Le 18 juillet une nouvelle attaque a eu lieu faisant de nouvelles victimes.
La 8 août , pour la prmière fois, l’éleveur a vu le loup en train dé dévoer un agneau. C’est alors que des mesurs ont éé prises dans le département de l’Ardèche, pour prendre la mesure des conséquences de ‘larrivée du loup.
“ Mais les mesures ne prévoient que l’indemnisation des animaux tués. Rien ne prend en compte les animaux blessés, les avortements, les animaux qui disparaissent” insiste Vinvent Guillaume.
Rien ne prend en compte le surcroit de travail, occasionné. Le troupeau de Denise Bousserolle, éleveuse à Saint Etienne de Lugdarès, se trouve près de son exploitation, située au lieu dit La gazelle, à deux kilomèrtes du village. Le surcroit de travail contraint à rentrer les animaux tousles soirs, ce qui demande un travail suppémentaire et impose de faire marcher les bêtes.troupeau de Guillaume Vincent se trouve à plusieurs kilomètres, ce qui n’est pas bon puor les bêtes qui se fatiguent et dépensent de l’énergie