Le site de Pierre Bénite d’Arkema accueille depuis quelques années cinq ruches, dont les colonies se portent bien.
Des colonies d’abeilles, par ailleurs menacées par varroa destructor ou l’érosion de la diversité florale, peuvent bien se porter dans un milieu industriel. C’est que montre l’initiative prise par le site Arkema de Pierre-Bénite, dans la vallée de la Chimie au sud de Lyon.
Le site se trouve sur la rive droite du Rhône, dont il est séparé par l’autoroute A 7 sur laquelle la circulation est intense. Il y a quelques années la direction du site a entrepris avec l’association Naturama, la restauration d’une mare proche du fleuve, où la vie naturelle a pu reprendre quelques droits. C’est sur le même site proche du Rhône que l’association Naturama a implanté cinq ruches, qui ont du être déplacées. ” Le site est trop humide, trop exposée à la proximité du fleuve” explique Christophe Darpheuil, directeur de Naturama.
Les ruches dont été installées au coeur même du site industriel, entre les ateliers où des colonnes produisent diverses molécules de synthèse. Sur les vastes espaces heureux qui s’étendent entre les constructions l’entreprise a fait réaliser des semis de fleurs mellifères. Les ruches ont été installées sur un vaste d’espace d’herbe simplement entourés d’un ruban qui vise évite l’approche afin de réduire les dérangements.
Des mesures sur la présence éventuelle de polluants dans les cires, réalisée après un an d’installation n’ont révélé aucun polluant particulier. A l’écart de l’autoroute, les ruches sont exposées à une pollution inférieure à celle que subissent de très nombreux riverains de l’axe de circulation. Sur le site Arkema la station de mesure de l’entreprise enregistre une meilleure qualité que l’air enregistré par la station de mesure d’ATMO Auvergne Rhône-Alpes, près de l’A7, sur la commune voisine de La Mulatière. ” Nous possédons nous même une station de surveillance de la qualité de l’air qui informe sur nos propres émissions. Mais depuis la mis en place d’un système d’incération de certains effluents, le site ne rejette ni effluent gazeux n i effluents aqueux pollués” explique, apiculteur lui même, qui suit le rucher.
Le site de pierre Bénit d’Arkema accueille depuis quelques années cinq ruches, dont les colonies se portent bien.
Des colonies d’abeillers, par ailleurs menacées par varroa destructor ou l’érosion de la diversité florale, peuvent bien se porter dans un milieu industriel. C’est que montre l’initiative prise par le site Arkema de Pierre Bénite, dans la vallée de la Chimie au sud de Lyon.
Le site se trouve sur la rive droite du Rhone, dont il est séparé par l’autoroute A 7 sur laquelle la circulation est intense. Il ya quelques années la direction du site a entreprise avec l’association Naturama, la restauration d’une mare proche du fleuve, où la vie nature a pu reprendre quelques droits. C’est sur le même site que l’association Naturama a implanté cinq ruches, qui ont du être déplacées. ” Le site est trop humide, trop exposée à la proximité du fleuve” explique Christophe Darpheuil, directe de Naturama.
Les riches dont été installée au coeur même du site industriel, entre les ateliers o des colonnes produisent… L’entreprise a fait réaliser au semis d’espèces de fleurs mellifères. Les ruche sont été installées sur n vaste d’espace d’herbe simplement entourée d’un ruban qui éviter l’approche pour réduire les dérangements. Des mesure sur la présence éventuelle de polluants dans le cires, réalisée après un an d’installation n’a révélé aucun polluant particulier. A l’écart de ‘l’autoroute, les riches sont exposées à ne pollutions inférieur à celle sur subissent de nombreux riverains de l’axe de circulation. Sur le site l’ai est de meilleure qualité que l’air enregistré par la station de mesure d’ATMO Auvergne Rhône-Alpes, près de l’A7, sur la commune voisin de La Mulatière. ” Nous possédons nous même une station de surveillance de la qualité de l’air qui informe sur nos propres émissions. Mais depuis la mis en place d’un système d’incération de certains effluents, le site ne rejette ni effluent gazeux n i effluents aqueux pollués” explique, apiculteur lui même, qui suit le rucher.
