Les études publiées en 2012 par Gérard Séralini avaient fait grand bruit. Une campagne de presse bien  avait diffusé le message d’OGM poisons.

La controverse déclenchée par le chercher de l’Université de Caen soutenu par le CRIGEN association opposée aux OGM végétaux a conduit à la réalisation de plusieurs études destinées à réaliser des novelles expériences.

L’étude publiée par Gérard Séralini, dans la revue a été rejetée. Elle est tours disponible, mais la mention de son retrait est publié pour averti les lecteurs.

Gérard Séralini avait conclu de ses travaux quad es rats , exposé pendant une durée plus longue à des consommant des OGM  contenant un gêne  de résistant au glyphosate, développait des tumeurs cancéreuses.

En tout, des budgets de quelque 15 millions d’euros ont été consacrés à ces recherches

Les études ont été menées en suivant les méthodes approuvées par la communauté scientifiques des spécialistes de la toxicologie. Le principal biais des travaux menée par Gérard Séralini, explique  Gérard Pascal, toxicologue, résident dans la confusion  entres notions de lignée et de souches.
Les chercheurs  utilisent pour leurs travaux des rongeurs dont les caractéristiques génétiques sont précisément connues. Ces caractères génétiques sont associés à l’expression de certains photologies. comme des tumeurs cancéreuses. Une ligne

Les OGM sont moisn sous les deux de la rampes. la principale critiques frmulée pcontre cette technique visaient  le francissement de la barrière ds esp^cèes. Mais les nouvelles tecnqiues mettet plutôt en avant les techniquen de valorisaiton du génome des organismes, sans recours à des gènes d’intérêt empruntés à d’autres organismes.