Dans l’air raréfié de la haute montagne, l’alpiniste John Harlin III est sur le point de tenter sa plus périlleuse et symbolique ascension : conquérir la face Nord de l’Eiger, paroi de roche et de glace haute de 1 600 mètres réputée pour son terrible climat. La montagne légendaire où son père a perdu la vie… Avec des images à couper le souffle, une musique signée Queen, le film est un hommage grandiose à la beauté des Alpes suisses. Après Everest, production culte du grand format toujours à l’affiche depuis 1998, Greg MacGillivray entraîne les spectateurs à vivre une nouvelle aventure humaine exceptionnelle Le film va au delà d’une découverte touristique des Alpes : il relate l’histoire d’un homme qui affronte ses peurs et repousse ses limites. Il montre l’alpiniste américain John Harlin III sur le point de tenter l’escalade la plus périlleuse qu’il ait jamais entreprise : l’ascension de la paroi vertigineuse de l’Eiger. L’alpiniste sert de guide aux spectateurs dans sa découverte de l’Eiger, encordé avec deux autres grimpeurs chevronnés, Robert Jasper, qui a déjà accompli l’ascension une douzaine de fois, et son épouse Daniela. John Harlin III entreprend cette ascension sur les traces de son père John Harlin II, meilleur alpiniste américain de son époque, victime du Mont Eiger en 1966 alors qu’il tentait d’ouvrir une nouvelle voie sur la face nord, lorsque sa corde cassa à 400 mètres du sommet provoquant une chute mortelle. John Harlin III, n’avait que neuf ans lors de cet accident. Il revient sur les lieux de son enfance et confie : “Il y a de nombreuses ascensions que j’ai voulu effectuer, mais l’Eiger est l’unique sommet où je pressentais qu’il fallait vaincre par sa paroi nord”. Il s’est préparé à affronter ses démons intérieurs et à honorer le souvenir de son père dans une escalade qui dépasse le simple exploit physique. “Pendant quarante ans, mon esprit a été prisonnier de l’Eiger. Ce voyage m’a permis de m’en libérer” ajoute John Harlin III à propos de sa victoire sur la face nord. “J’ai toujours su que mon devoir était d’oser mener cette ascension. Maintenant que j’ai vaincu la face nord de l’Eiger, je savoure les moments partagés en famille avec plus d’intensité qu’auparavant.” Une des plus majestueuses régions d’Europe Du sud de la France à la Slovénie, les Alpes s’imposent comme l’une des plus majestueuses régions d’Europe. Autrefois, les Alpes étaient infranchissables. A force d’intelligence, de volonté et de courage, les hommes ont vaincu cette barrière naturelle. Le producteur du film, Greg MacGillivray révèle le caractère grandiose des Alpes suisses grâce à des images spectaculaires tournées dans ces paysages somptueux, particulièrement bien adaptés au format IMAX. Le film rend hommage à la beauté de ce massif méconnu et à l’esprit des 20 millions de personnes qui y vivent. Il offre aussi des informations d’ordre historiques et scientifiques sur les Alpes (géologie, études des avalanches…). Un trajet dans le train d’altitude Glacier Express, des arrêts dans des villages restés authentiques et même un saut à l’élastique au barrage de Verzasca enrichissent ce superbe voyage. « Les Alpes » met en scène l’extraordinaire ingéniosité de l’homme à s’adapter harmonieusement à un écosystème en apparence hostile: “La sagesse qui s’est développée dans ces montagnes est une source d’enseignement, cela semble être un lieu où il serait difficile de vivre, mais les Suisses ont trouvé des solutions durables en construisant des tunnels, des ponts et des chemins respectant les contours organiques du paysage. Ils ont créé un système très convivial, permettant à tout le monde de s’immerger dans la nature et d’apprécier les joies et merveilles procurées par les montagnes et les glaciers” explique Greg MacGillivray. Dans le dossier de présentation du film. Des moyens de tournage uniques Le tournage a été réalisé en trois semaines en avril et mai 2006 dans différents sites en Suisse, à la Petite Scheidegg dans le Grindelwald, sur la face nord de l’Eiger à Zermatt, au pied du Cervin, dans le Val Verzasca, dans les gorges du Rhin et sur le glacier d’Aletsch. Tous les moyens ont été mis en oeuvre pour filmer des images à couper le souffle. Les vues spectaculaires de la face Nord de l’Eiger ont été réalisées avec une caméra IMAX suspendue au filin d’un hélicoptère avec le caméraman et un guide de montagne. De la même manière, les vues aériennes ont été réalisées avec la SpaceCam, une caméra spéciale fixée sous l’hélicoptère commandée de l’intérieur du cockpit. La force et la dynamique d’une avalanche de neige et de glace ont été captées avec une caméra enveloppée dans une crash box, située directement sur le passage de l’avalanche. Avec le concours de l’Institut Fédéral pour l’Etude de la Neige et des Avalanches de Davos, l’équipe est parvenue à filmer avec une caméra IMAX la deuxième plus grande avalanche jamais provoquée dans le site expérimental d’Anzère. Les images sont soulignées par une bande originale incluant des titres du groupe Queen tels que “Who Wants To Live Forever” ou “It’s A Beautiful Day”. La Géode 26, avenue Corentin Cariou – 75019 Paris – Métro : Porte de la Villette Parking payant de la Cité des sciences et de l’industrie Informations – horaires : 01 40 05 79 99 Réservations : 08 92 68 45 40 (0,34 euros / minute)
Ne confondez pas bonnes châtaignes et marrons toxiques !
Dès l'automne, les confusions entre marrons d'Inde et châtaignes sont fréquentes. L'Agence nationale de Sécurité Sanitaire , ANSES, donne quelques information pour éviter des confusions. Les termes « marrons », " marrons chauds" , « marrons glacés » « crème...
