Depuis plusieurs années, la maison d’édition Glénat s’engage en faveur de l’environnement et réalise des actions écologiques concrètes. En 2009, Glénat décide de sensibiliser ses salariés en leur donnant la possibilité d’agir au quotidien sur leur lieu de travail. L’éditeur devient alors le partenaire de Conibi[1] pour collecter et recycler ses cartouches d’imprimantes usagées.

Aujourd’hui, plus de 500 cartouches d’impression sont collectées chaque année, ce qui a permis la production de 179 kg de matières premières secondaires. Ceci représente une économie de 1,3 t de ressources naturelles.

L’impression fait partie intégrante des processus de production de la société. A titre d’exemple, l’ensemble des épreuves pour valider la colorimétrie  (système jet d’encre certifié) pour tous les titres (600 nouveautés par an) représente près de 4 000 m2 de papier imprimé. L’impression de pré-versions pour la relecture et pour le marketing représente 900 000 copies par an, sur le site de Grenoble.

Depuis 2009,  Conibi met à la disposition de Glénat des containers de collecte dédiés « Ecobox ». D’une contenance d’une centaine de litres, ces containers permettent aux collaborateurs de collecter tous les types de cartouches usagées. Après enlèvement par Conibi, les consommables sont triés pour être recyclés ou valorisés.  « Après avoir été sensibilisés en interne, les collaborateurs ont adopté naturellement cet éco-geste. Simple et flexible, la collecte de nos cartouches d’impression usagées fait désormais partie de notre quotidien » explique Damien Bonis, responsable technique de Glénat Production.